A la différence des startups, dont c’est la raison d’être, les PME ont rarement l’innovation dans leur ADN. Leur futur s’inscrit le plus souvent dans la continuité du passé et dans les croyances tribales de leur marché.

En réalité, elles innovent le plus souvent sous la contrainte, quand leur existence est menacée, ce qui peut nous rendre optimistes sur le futur immédiat.

L’innovation n’est pas que technique, technologique ou digitale, elle n’est pas réservée aux startups ou aux services R&D des grands groupes.

Elle est souvent latente, invisible à l’œil nu, mais bien présente. Elle peut concerner le modèle économique à revoir, la place à améliorer dans la chaine de valeur, le capital matériel ou immatériel de l’entreprise à optimiser…

Innover c’est devenir, au moins temporairement, le « premier », jusqu’à incarner le leadership d’un marché. C’est profiter d’un vide pour s’y installer et s’imposer comme pionnier. Or le pionnier fixe les règles, les standards et le prix.

L’amélioration de la bougie n’a permis en rien d’inventer l’ampoule électrique, les découvertes sont parfois fortuites, mais le mieux est de faire de l’innovation une démarche disruptive, construite et outillée.
Interrogez-nous sur la méthode Wikane.

Michel COURTOIS