Se préparer à une crise c’est en faire une formidable opportunité le jour où elle survient.

Recul des ventes dans l’automobile, industrie du décolletage en baisse, crise bancaire à venir, effondrement, retournement, ralentissement …

Depuis quelques mois, un puissant courant de pensée annonce le pire avec son cortège de surenchères largement amplifiées par les médias. A tel point que certains dirigeants de PME n’envisagent plus de croître dans les 3 prochaines années.

Au pire, ils pensent qu’ils ne passeront pas cette période si elle se confirme. Au mieux, ils prévoient de faire le dos rond et envisagent de réduire les investissements, même les plus stratégiques, en attendant des jours meilleurs.

Le pire n’est jamais certain et bien malin celui qui pourrait prédire l’échéance d’une crise. En revanche ce qui est certain c’est qu’elle aura lieu un jour car les crises suivent toutes un cycle.

Chez Wikane, nous pensons que les dirigeants de PME ne devraient jamais lire d’études ou d’articles sur la conjoncture, du moins tous ceux qui ne vivent pas sous la dépendance exclusive d’une poignée de donneurs d’ordres (équipementiers de l’automobile par exemple) ou de la grande distribution. Car il suffit d’un mauvais chiffre ou d’un retournement de tendance pour que leur moral s’assombrisse …

En réalité la macro-économie, celle des grands groupes et des multinationales, ne les concerne pas : les dirigeants de PME vivent à une autre échelle, et c’est ce qui fait leur force. Nous en voulons pour preuve les belles sorties de crise de PME auxquelles nous avons assisté dans le passé et les formidables projets qui en ont résulté.

Alors, faut-il encore s’inquiéter du moral des Européens, des intentions d’achat des ménages ou des prévisions de tel ou tel domaine d’activité ? Ces chiffres sont déterminants pour le numéro un d’un secteur, qui souffrira mécaniquement d’un recul de son marché. Mais une PME qui ne pèse presque rien sur le même marché ne subit pas cette dépendance. Ou plutôt, elle dispose de 2 puissants leviers d’action permettant de s’en affranchir :

• Le premier, c’est la liberté de manœuvre dont elle jouit pour mener des actions commerciales ambitieuses sans risque de riposte violente de ses concurrents car eux, dans le même temps, réduisent la toile.
• Le second est que son modeste chiffre d’affaires n’a pas besoin de centaines et de centaines de nouveaux clients pour connaître une progression spectaculaire. Il suffit parfois de trois ou quatre nouveaux clients pour atteindre une progression annuelle de 30 ou 40%.

Ajoutez-en un à la liste : l’offre leader de croissance accompagnée des PME à fort potentiel. Chez Wikane nous pensons que les crises ne sont pas un sujet pour les PME, elles peuvent même être de vraies opportunités pour creuser l’écart avec les concurrents, à condition d’y être préparé. Or la meilleure préparation est d’être en accélération au moment où survient le ralentissement.

Accélérer la croissance des PME c’est notre métier depuis plus de 25 ans.

Le pire n’est jamais certain, mais si la crise survient : soyez prêts, pour en faire un véritable vecteur de développement.

Ça va tanguer ? Tant mieux !